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Demoiselle d'azur...
Les matins silencieux qui parfois me surprennent
Le vide dans les yeux, le regard en errance
Cheminot de nuage, parcourant ton absence
Demoiselle d’azur, sais-tu combien je t’aime ?
Les aurores brumeuses en camaïeu de rose
Éclairant l’horizon par delà les montagnes,
M’invitent à croire un peu au pays de cocagne
Demoiselle d’azur, tu me plonges en hypnose.
Matins mélancolie aux parfums surannés,
Où le poids de la vie soudain se fait pesant
Où mes rêves s’envolent emportés par le vent
Demoiselle d’azur, je ne peux t’oublier.
Aubes inattendues, préludes à la lumière,
Annonçant la froideur de journées insipides
Figées d’heures immobiles où s’écrivent les rides,
Demoiselle d’azur, en serais-tu geôlière ?
Matinées délétères, nostalgie de bohême,
J’écris pour toi les mots que je ne peux te dire
Illusion de mon cœur, fantôme de cachemire
Demoiselle d’azur, sais-tu combien je t’aime ?
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Commentaires
J'espère
que cette demoiselle d'azur n'est pas seulement une illusion de votre cœur... Elle a bien de la chance, en tout cas, de susciter de tels mots... Bravo !
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J'ai découvert vos écrits récemment. J'aime et j'espère continuer à découvrir ce que vous donne la vie ..en souriant.