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    A défaut de quelques ballades sur ce blog,

    Je m’octroie quelques balades sur deux roues…


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  • Un brin de soleil ?

     

    Voici donc le moment de sortir sécateur, taille-haie, tronçonneuse et autres outils tranchants, histoire de tenter de canaliser la Nature.

     

    Et la Nature…  elle nous le rend bien !

    A nous en faire découvrir des muscles dont on ignorait l’existence jusqu’alors… C’est-y pas sympatoche ?

     

    Moi qui avait réussi à conserver mes dix doigts (et là tu te dis « Heureusement ! », coquine que tu es !) et à ne pas massacrer la ligne de crête des cyprès, me voici avec un mal de dos carabiné !

    C’est donc pour ça que la photo représente un mâle de dos, carabinier (oui, c’est un copain policier italien qui a posé pour la photo).

    Ce dos musclé n’est donc pas le mien, calmez-vous les filles ! ;-)

     

    Antalgiques pour ce soir mais sans doute une petite virée à moto demain quand même, parce que j’ai du mal à résister à ce temps là et puis aussi…

    parce que je le vaux bien, non ?

     

    Baci Bella !


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    Le jour où tu viendras, le jour où tu viendras,
    Le jour où tu viendras, ne prends pas tes bagages.
    Que m'importe, après tout, ce qu'il y aurait dedans,
    Je te reconnaitrai à lire ton visage.
    Il y a tant et tant de temps que je t'attends.
    Tu me tendras les mains, je n'aurai qu'à les prendre
    Et consoler les voix qui pleurent dans ta voix.
    Je t'apprivoiserai, les lumières éteintes.
    Tu n'auras rien à dire, je reconnaitrai bien

    Le tout petit garçon, le regard solitaire
    Qui cachait ses chagrins dans les jardins perdus,
    Qui ne savait jouer qu'aux billes ou à la guerre,
    Qui avait tout donné et n'avait rien reçu.

    Si je venais vers toi, je viendrais sans bagages.
    Que t'importe, après tout, ce qu'il y aurait dedans.
    Tu me reconnaîtrais à lire mon visage.
    Il y a tant et tant de temps que tu m'attends.
    Je te tendrai les mains, tu n'aurais qu'à les prendre
    Et consoler les voix qui pleurent dans ma voix.
    Tu m'apprivoiserais, les lumières éteintes.
    Je n'aurais rien à dire, tu reconnaîtrais bien

    La toute petite fille, aux cheveux en bataille
    Qui cachait ses chagrins dans les jardins perdus
    Et qui aimait la pluie et le vent et la paille
    Et le frais de la nuit et les jeux défendus.

    Quand viendra ce jour-là, sans passé, sans bagages,
    Nous partirons ensemble vers un nouveau printemps
    Qui mêlera nos corps, nos mains et nos visages.
    Il y a tant et tant de temps que l'on s'attend.
    A quoi bon se redire les rêves de l'enfance,
    A quoi bon se redire les illusions perdues ?
    Quand viendra ce jour-là, nous partirons ensemble,
    A jamais retrouvés, à jamais reconnus.

    Le jour où tu viendras, le jour où tu viendras,
    Il y a tant et tant de temps que je t'attends...

     

    Barbara


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