• Bon, ben voilà, ça y est ! L'été semble arriver à grand pas,
    nous écrasant sous sa chaleur bienfaitrice (j'aime pas le froid).
    Le soleil nous picote la peau de ses rayons crayons de couleur
    qui donnent aux épidermes une coloration bien sympathique.

    Ce que j'aime surtout lorsque vient la belle saison,
    ce sont, encore et toujours, vous...les femmes.

    Parce que votre garde-robe s'allège.
    Parce que votre peau dore.
    Parce que vos décolletés se font provoquants.
    Parce que vos sourires se mutinent.
    Parce que vos jolies pupilles se dissimulent derrière des verres fumés
    pour mieux observer discrètement le monde.
    Parce que vos jambes de soie invitent la caresse.
    Parce que vous semblez plus désirables encore.

    Sauf que...

    Je peste encore et encore contre un accessoire
    que vous semblez apprécier de plus en plus.
    Un truc en plastique teinté dans la masse
    et délicatement assemblé dans des usines de Taiwan
    par de petites mains besogneuses.
    J'ai nommé : la « TONG ».

    Si, si, vous savez bien,
    ce truc qui éloigne votre orteil du reste de ces congénères.
    Ces soi-disant chaussures qui vous donnent une démarche pataude
    et vous font traîner les pieds bruyamment comme un nonagénaire cacochyme.
    Ces « bidules » qui vous font perdre toute la grâce féminine qui vous caractérise
    et vous rend si belle à nos yeux.
    Ces « machins » aux couleurs flashies,
    parfois ornés d'une grosse marguerite (le comble du raffinement).
    Ces « choses » dont les claquements et les raclements au sol
    sont aussi discrets et sensuels que la progression d'une pelleteuse à moteur diesel.
    Ces « trucs » qui vous rendent aussi sexy qu'une robe de chambre en pilou ou
    des bas de contention (voire des deux conjugués ensemble).

    Femmes, je vous aime,
    mais par pitié, oubliez les « tong »... ailleurs que sur la plage !!!





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  • Pour sublimer notre connexion haut débit
    Je mémorise en DVD les couleurs de notre amour
    Sur l'écran plat j'illumine mes nuits
    Sans faire une seule retouche à tes contours

    Gravés sur CD-ROM les millions d'octets de nos vies
    Affichent des images en format numérique
    Sans défragmentation nos disques durs réunis
    Font en sorte que nos prises USB s'imbriquent

    Je contemple ton corps par l'objectif de ma webcam
    Branchée en éthernet sur ma mémoire vive
    Je vidéotape ton interface corporelle de charme
    Pour que mes souvenirs, de toi, jamais ne me privent

    Je pixellise ta peau d'un doucle clic de mes caresses
    Qui fait buguer tes sens en un fol plaisir
    Nos transferts de données par un cablage de tendresse
    Nous décryptent les lignes de code du plaisir

    Je me repasse en boucle tes soupirs en MP3
    Synthétiseurs d'une torride passion
    Nostalgique de ce temps qui fut et qui sera
    Et de nos étreintes en haute définition





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  • Prendre la vie comme elle vient et les gens comme ils sont,
    N'en attendre rien pour n'être pas déçu,
    Se promener sous la lune en chantant des chansons
    Qui se moquent de ceux qui vous trouvent incongru.

    Avoir la fleur aux dents et le sourire aux lèvres,
    Parfois la larme à l'œil pour vivre l'émotion,
    Prendre les jours qui passent comme autant de beaux rêves,
    La caresse du temps comme une inspiration.

    Respect aux respectables, mais pour les autres aussi.
    Ne pas jeter l'opprobre en l'air aux quatre vents,
    De peur qu'elle ne retombe sur d'authentiques gentils
    Qui vagabondent, le regard innocent.

    Regarder son reflet s'afficher au miroir
    Sans avoir à rougir de ses actions passées,
    Se sentir droit et franc, intègre et pouvoir
    En même temps être fier et discret.

    Protéger sans détruire, aimer sans faire souffrir
    Ecouter pour entendre et regarder pour voir
    Se désintéresser des louanges et partir
    Sans bruit, sans haine, en laissant de l'espoir...

    Au fil de mes balades j'ai pleuré et j'ai ri
    J'espère n'avoir jamais fait trop souffrir
    Et j'ai pourtant souffert de ceux qui m'ont trahi
    Pourquoi leur en vouloir ? Je n'ai pas su mourir...




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  • De retour au boulot,
    j'ai trouvé ce matin un peu de temps pour faire le tour complet de mes blogs de chevet...

    Pas Glop !

    Plein d'entre eux ne m'ont offert qu'une page vide,
    là ou habituellement je trouvais de jolies citations,
    de belles rimes, de fabuleuses images, d'intenses réflexions...

    Celà me rappelle que le vie n'est finalement qu'un passage,
    que quoi que nous fassions, rien ne deviendra éternel...

    Profiter du moment...là se trouve peut être la clé...

    Tiens, je vais aller draguer une ou deux collègues,
    on ne sait jamais...

    ;-))




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  • Dans la vie et notre société,
    chacun a des droits et des devoirs.

    Mais il est bon de ne pas oublier de satisfaire à ses devoirs,
    avant de réclamer ses droits.




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