• Le syndrome de l'aiguille dans la botte de foin...

    Chercher l'insoupçonnable.

    Trouver l'improbable.

    Tourner et retourner en tous sens les mots, les chiffres, les faits.

    J'ai parfois l'impression de m'épuiser en vain, tandis que les fêtards s'épuisent en vin.

    Lorsque le sacrifice des heures passées à tenter d'assembler les pièces du puzzle confine à l'inutile.

    Lorsque les morceaux ne s'emboîtent pas comme ils devraient.

    Lorsque les conjugaisons sont mauvaises.

    Lorsque les accords sont « désaccord ».

    Quand les mots tôt refusent de démarrer.

    Quand les mot tard manifestent en colère.

    Quand la valse à trois temps devient la valse à mille temps.

    Lorsque les chiffres dansent, sans rien calculer d'autre.

    Quand les lettres s'élisent en déba[t]s filés.

    La pendule m'aiguille, la montre me remonte.

    Pourtant l'obscurité tout entière m'enveloppe sans m'affranchir (de quoi devenir timbré).

     

    Parallèle à ma vie.

    Chaque chose à sa place, mais pas dans le bon ordre.

    Cette impression bizarre que tout arrive... mais pourtant jamais au moment opportun...

     

    Tout vient à point.... mais qui sait, ma tendre ?

     


  • Commentaires

    1
    Auparavant (Champêtr
    Jeudi 6 Décembre 2007 à 10:14
    Petit déjeuner sur l’herbe
    Le travail de fin limier n'est pas de tout repos et demande énormément de patience. Laisse donc les fêtards à leur vin et les têtards s'épuiser dans leur bain, tu vas finir par le puiser ce morceau de puzzle, l'Ultime, celui qui va éclaircir ton ciel assombri, remettre en ordre tes lettres, tes chiffres, faire repartir les mots tôt, ré accorder les cordes des désaccords passés, remettre les pendules à l'heure et démonter le mécanisme de la trotteuse de ta montre... Alors bientôt, dans les champs, là où les bottes de foin font du tintouin, je t’entendrai crier : "Eureka ! Bon sang mais c'est bien sûr !" ;) Quant à ta tendre, il n'y a point de plaisir qui ne gagne à être connu... L'ordre, à la longue, se met toujours de lui-même autour des choses. Croix d’bois, croix d’fer, si je mens je vais en enfer.
    2
    Mardi 11 Décembre 2007 à 19:09
    Tout vient à point...
    ...à qui sait attendre? Tu ne m' as pas trop attendue, au moins ? J' suis de retour ! Un bonjour et bises de So
    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :